J’avale de l’eau en quantité plus ou moins grande au cours d’un bain de mer où je risque de périr par asphyxie.

Je mets quelque chose qui est distinct et séparé, mais plus ou moins ajusté, sur un volume de la contenance d’un récipient.

J’embrasse d’un seul tenant une certaine période de temps, comme pour tisser une toile d’araignée sur cette époque.

Je découvre quelqu’un, en dévoilant son vrai visage, sa vraie nature qui se cache sous des dehors trompeurs.